litbaza книги онлайнИсторическая прозаВольтер и его книга о Петре Великом - Евгений Францевич Шмурло

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Je craindrois être coupable de prophanation si je disois, que le Dieu des payens et le Dieu des chrétiens est le même Dieu. Les Russes jurèrent par le St.-Evangile, et en baisant la SteCrois. Jamais un Russe n’a juré autrement.

N. 207. – Le traité fut gravé sur deux gros marbres qui furent posés pour servir de bornes aux deux empires (449).

SUPP. p. 133, l. 13. le traité fut gravé sur deux gros marbres. Les Chinois avoient l’intention de le faire; mais cela n’a jamais été exécuté.

BÜSCH. de bornes aux deux empires. Diese Nachricht ist unrichtig. Es scheint zwar, dass die Chineser willens gewesen sind, zum Andenken dieses Friedensschlusses grosse steinerne Gränzsäulen zu errichten, und den Friedensvertrag in dieselben zu graben; es ist aber niemals wirklich geschehen. Die Chineser aber besichtigen jährlich im Anfang des Sommers die Gränze, und ihre Commissarien errichteten an der Mündung des Flusses Gorbiza, und an dem Orte, wo ehemals Argunskoi Ostrog gestanden hat, holzerne Pfäle mit Inschriften in mansjurischer Sprache, welche nichts weiter enthalten, als dass in demselben Jahr, Monat und Tage von N. N. die Gränze besichtiget, und dieses geschrieben worden sey. Müller am angeführten Orte, S. 443–445.

Voir N. 201.

N. 208. – Trois ans après, le czar envoya le Danois Ilbrand Ide en ambassade à la Chine (449).

SUPP. p. 133, l. 16. Danois Ilbrand Ide. Ysbrand Ides natif de Rükstad en Holstein, riche négociant à Moscou.

FAUTES, p. 133, l. 16. Ilbrand Ide. Son nom est Isbrand Ides. Il étoit de la partie du Holstein qui apartient au roi de Dannemark.

Chapitre VIII.

Expédition vers les palus-méotides. Conquęte d’Azof.

Le czar envoie des jeunes gens s’instruire dans les pays étrangers

n. 209. – Sheremeto et Shein, originaires de Prusse, (édition 1759).

ЛОМ. I. chap. 5, p. 73. Scheremeto et Schein, originaires de Prusse. Здесь хочется, видно, автору, чтобы все генералы были иностранные, как и в четвертой главе потешных почти всех почитает иностранными.

FAUTES, ib. (?), l. 22. Shein. Il n’était pas Prussien. C’est une famille originairement russe.

Dans les éditions suivantes Voltaire a probablement renoncé à l’idée d’attribuer à Šeremetev une origine prussienne, tout en continuant à considérer comme «prussien» le général Šein: «Sheremeto et Shein, originaire de Prusse» (p. 450).

Dans l’édition de 1759, deux lignes plus bas, on a ajouté à la phrase: «cette grande armée s’avance sous les ordres du maréchal Sheremeto» la note suivante avec renvoi à ce dernier mot: «Sheremetow, ou Sheremetof». Dans les éditions plus récentes cette note se rapporte plus haut à la phrase: «Sheremeto et Shein, originaire de Prusse». Elle est en outre plus détaillée: «Sheremetow ou Sheremetof, ou, suivant une autre orthographe, Czeremetoff» (p. 450).

N. 210. – Voir l’édition de 1759.

FAUTES, p. 138, l. 18. Il y a ici une faute typographique dans les interponctions qui fait un contresens.

N. 210.*– La légende russe est remarquable: «Pierre Ier empereur de Moscovie, toujours auguste» (453).

BÜSCH. toujours auguste. Die Umschrift ist hier richtig angegeben. Peter I wird auf dieser Schau- und Gedächtnissmünze nicht Kayser genannt. Bayer übersetzt die russische Umschrift also: «Petrus Alexiewiz Princeps Moscoviae semper augustus».

Chapitre IX.

Voyage de Pierre le Grand

N. 211. – Les trois ambassadeurs étaient le général Le Fort, le boïard Alexis Gollowin, commissaire général des guerres et gouverneur de la Sibérie, le même qui avait signé le traité d’une paix perpétuelle avec les plénipotentiaires de la Chine, sur les frontières de cet empire, et Vonitsin, diak ou secrétaire d’État, longtemps employé dans les cours étrangères (454).

ЛОМ. I. chap. 6, p. 80. С государем в посольстве были, по моим известиям: генерал-адмирал Франц Яковлевич Лефорт; боярин Федор Алексеевич Головин; думный дьяк Прокофий Богданович Возницын.

REM. I. p. 146, l. 3. et Procopei Wosnitzin, secrétaire d’Etat, employé depuis pour négocier la paix avec les Turcs à Carlovitz. (REM. II: même texte, mais sans les mots: «à Carlovitz». MÜLLER: même texte que dans les REM, II.).

N. 212. – Il confia la régence au boyard Strechnef, et au knès Romadonouski (édition 1759). Dans l’édition Garnier (p. 455) probablement une faute d’impression: «Strecknef».

ЛОМ. I. chap. 6, p. 81. Правление будто поручено было Нарышкину, Голицыну и Прозоровскому. А по моим известиям, боярину Тихону Никитичу Стрешневу и комнатному стольнику князю Федору Юрьевичу Ромодановскому.

FAUTES, p. 147, l. 3. Romodanouski. Lisés: «Romadanofski».

Dans les éditions plus récentes la forme «Romadonouski» se rapproche davantage de la prononciation russe et est substituée par la forme «Romadonoski».

N. 213. – Les troupes formées par le général Gordon restèrent à Moscou pour assurer la tranquillité de la capitale. Les strélitz, qui pouvaient la troubler, furent distribués sur les frontières de la Crimée, pour conserver la conquête d’Azof et pour réprimer les incursions des Tartares (455).

REM. II. p. 147, l. 9. sur les frontières de la Crimée. Il faut ajouter: «et de la Lithuanie». (REM. I. et MÜLLER: même texte.).

N. 214. – Pierre et son ambassade prirent leur route, au mois d’Avril 1697, par la grande Novogorod. De là on voyagea par l’Estonie et par la Livonie, provinces autrefois contestées entre les Russes, les Suédois et les Polonais, et acquises enfin à la Suède par la force des armes (456).

REM. I. p. 150, l. 4. par l’Estonie. L’ambassade en allant de Novogorod à Riga passa par Plescovie, sans toucher l’Estonie, le détour auroit été trop grand et inutile.

REM. I. ibid. l’Estonie n’a jamais été contestée entre les Russes, les Suédois et les Polonais; mais la ville de Dörpt et une partie de la Livonie attenante à la Russie.

REM. II. p. 150, l. 4. par l’Estonie. On ne passa pas par l’Estonie en allant de Novogorod à Riga. Ce seroit un détour trop grand et absolument inutile. Aussi la grande ambassade ne prit pas cette route, comme on l’a déjà fait remarquer précédemment. L’Estonie n’a jamais été contestée entre les Russes, Suédois et Polonais, mais la ville de Dörpt et une partie de la Livonie appartenante à la Russie. (MÜLLER: idem.)

N. 215. – Le comte d’Alberg gouverneur de Riga (édition 1759). Dans l’édition Garnier, (p. 456) probablement

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