litbaza книги онлайнИсторическая прозаВольтер и его книга о Петре Великом - Евгений Францевич Шмурло

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da doch die griechischen Kirchenbräuche nicht mehr, als einen Namen beyzulegen verstatten. Der zweyte Name rühret von dem Vater her, und weil der Vater der Zaarinn mit seinem Taufnamen Fedor geheissen, so wurde sie Fedorowna, oder Fedorofna genennet.

(1) Indication de la page de l’édition française à laquelle fait allusion Büsching.

N. 417. – Les plus grandes contradictions qu’il éprouva, quand il voulut créer un empire et former des hommes, vinrent de sa femme: elle était dominée par la superstition, si souvent attachée à son sexe (572).

MAGAZ. 114. vinrent de sa femme. – Die Zaarinn Eudoxia soll sich denen Verbesserungen, die der Zaar in seinem Reiche einführen wollte, widersetzet haben; und das soll die Ursache ihrer Verstossung gewesen seyn. Hiervon wissen die russischen Nachrichten nichts. Das Missvergnügen in der Ehe hat eher angefangen, als der Kaiser an grossen Verbesserungen gearbeitet hat. Es ist wahrscheinlicher, dass die Zaarinn sich ihr Unglück durch ihre Eifersucht wegen des damaligen Umganges ihres Gemahls mit Mademoiselle Mons zugezogen hat, von welcher Korb in Diario, und Gordon im Anhange zu Peters des Grossen Lebensgeschichte, Nachricht geben.

N. 418. – le czar fut obligé de la répudier en 1696, et de l’enfermer dans un couvent, à Susdal, où on lui fit prendre le voile sous le nom d’Hélène (572).

MAGAZ. 114. la répudier en 1696. – Die Verfassung soll 1696 geschehen seyn. Dass solche aber nicht eher, als im Jahr 1699 erfolget sey, siehet man aus dem die Zaarinn angehenden gedruckten Manifeste.

N. 419. – Mes Mémoires disent qu’elle fut confiée à des superstitieux qui lui gâtèrent l’esprit pour jamais (572).

MAGAZ. – Mes Mémoires. – Herr Voltaire stützt sich hier, und noch an einem andern Orte, auf die ihm zugeschickten Mémoires, woraus man schliessen könnte, dass dieses die einzigen Stellen sind, die er daraus genommen hat. Da man aber voraussetzen soll, dass alle Begebenheiten, wo er nicht andre Quellen anführet, sich auf selbige Mémoires gründen, so scheinen diese Citationes überflüssig zu seyn. Sollte man nicht auch denken, dass er die Absicht habe, unangenehme Umstände auf fremde Rechnung zu schreiben?

N. 420. – Le mariage de Pierre avec Catherine, en 1707… (572).

MAGAZ. 115. en 1707. – setze 1712.

N. 421. – il le mit même à la tête de la régence pendant une année (572).

En envoyant son manuscrit à Pétersbourg pour qu’il y subît un examen préalable, Voltaire demanda en quelle année le tsarévitch avait été associé à la régence. On lui répondit: «La même année que le Tsar partit pour la guerre contre les Turcs, savoir 1711» (voir appendice N. 5, première objection de Voltaire. Cette réponse n’influença du reste aucunement le texte primitif). Büsching rapproche cet événement de l’année 1711, mais de façon plus vague:

MAGAZ. 115. à la tête de la régence pendant une année. – Auf wie lange Zeit der Kaiser den Prinzen der Regierung vorgesetzet hat, weis ich nicht; die Sache aber ist gewiss. Denn sie gründet sich auf den gedruckten Inquisitions-Process, auf die Aussage vom 22 Junius. Herr Voltaire sagt nicht, in welchem Jahre solches geschehen? Das musste allerdings bestimmet werden. Vielleicht im Jahre 1711.

N. 422. – Sa femme [du tsarevich], méprisée, maltraitée, manquant du nécessaire, privée de toute consolation, languit dans le chagrin, et mourut enfin de douleur en 1715, le 1er de novembre (573).

Voir appendice N. 5, deuxième objection de Voltaire. Pétersbourg rend le tsarévitch responsable de tout. Büsching voit les choses d’un autre point de vue:

MAGAZ. 115. maltraitée. – Dass die Kronprinzessin von dem Zarewitsch übel gehalten worden, kann einen üblen Verstand verursachen. Sie hat doch zwey Kinder gebohren, welches keine gänzliche Verachtung anzeiget. Die finnische Magd Euphrosyna, hat er erst nach seiner Gemahlin Tode lieb gewonnen. Zu dem Missvergnügen in der Ehe können beyde Theyle etwas beygetragen haben. Einige haben auch der Prinzessin von Ostfriessland, welche der Kronprinzessin zur Gesellschaft mit nach Russland gekommen, und nach ihrer eigensinnigen Aufführung ailes aufs übelste ausgelegt hat, viele Schuld beymessen wollen.

MAGAZ. 116. le premier de novembre. – Die Kronprinzessin starb im Kindbette. Denn sie gebahr den 10/21 October und starb den 20 October/1 November 1715.

N. 423. – Le czar croyait surtout avoir la prérogative de disposer d’un empire qu’il avait fondé. (573).

Voir appendice N. 5, troisième objection de Voltaire.

N. 424. – L’Impératrice Catherine accoucha d’un prince, qui mourut depuis en 1719 (573).

Voltaire indiqua l’année de la mort après avoir reçu la réponse à la question adressée à ses correspondants de Pétersbourg.

Voir appendice N. 5, quatrième objection de Voltaire.

N. 425. – (L’impératrice Catherine accoucha d’un prince…) Soit que cette nouvelle abattît le courage d’Alexis, soit imprudence, soit mauvais conseil, il écrivit à son père qu’il renonçait à la couronne (573).

ALEX. l. 6. le courage d’Alexis. Je crois que le mot de courage se prend toujours en bonne part et alors il suppose une certaine fermeté d’âme qui manquait précisément à Alexis. Mais c’est à Vous d’évaluer la signification des termes; on les adoptera dans le sens qu’il Vous plaira de leur donner.

N. 426. – il paraît étrange que le czar voulût voyager en laissant dans ses États un fils si mécontant et si obstiné… A peine fut-il [le czar] à Copenhague qu’il apprit (ce qu’il pouvait présumer) qu’Alexis ne voyait que des mécontents qui flattaient ses chagrins (574).

ALEX. p. 8. à peine fut-il à Copenhague qu’il apprit ce qu’il devait bien présumer qu’Alexis ne voyait que des mécontents. Cette parenthèse ce qu’il devait bien présumer, n’accuse-t-elle pas finement le Tsar de manque de prudence? Il a d’autant plus l’air d’un reproche qu’on vient de dire: il est étrange que le czar voulût voyager en laissant dans ses États un fils si mécontent.

Voltaire laissa sans changement les derniers mots, mais dans la phrase «à peine etc.» il substitua «pouvait présumer» à «devait bien présumer».

N. 427. – C’était à peu près la même aventure que celle de Louis XI lorsque, étant encore dauphin, il quitta la cour du roi Charles VII, son père, et se retira chez le duc de Bourgogne. Le dauphin était bien plus coupable que le czarovitz, puisqu’il s’était marié malgré son

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