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Fête pour l'inauguration du monument élevé à la mémoire de Jeanne d'Arc, à Domremy, Département des Vosges (10 septembre 1820). Neufchâteau, 1820. P. 2.
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«Les tentes dressées çà et là dans la belle vallée de Domremi, sur les bords de la Meuse, un tournois antique, des danses, un nombreux banquet ont rempli la journée trop courte au gré de l'immense population accourue de toutes parts pour cette fête. Le soir, un cordon de feux placés sur la cime des montagnes qui couronnent la plaine, l'illumination des bourgs et chateaux…, un feu d'artifice très-bien conçu ont fait succéder au plus beau jour la plus riante des nuits. Les cris de vive le Roi! Vive les Bourbons! répétés par les échos d'alentour, en provoquaient sans cesse un plus bruyant essor» (Gazette nationale ou le Le Moniteur Universel. 1820. № 262 (18 septembre). P. 1279). Детальное описание торжеств см. в: Haldat C. N. de. Relation de la Fête inaugurale célébrée à Domrémy, le 10 septembre 1820, en l'honneur de Jeanne d'Arc. Nancy, 1820.
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Подробнее о Феликсе Дюпанлу см.: Тогоева О. И. Еретичка, ставшая святой. С. 491–493.
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Marot P. Le culte de Jeanne d'Arc à Domrémy. P. 40.
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Krumeich G. Jeanne d'Arc à travers l'histoire. P. 182.
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Marot P. Le culte de Jeanne d'Arc à Domrémy. P. 52. Панегирик монсеньора Дюпанлу 1869 г. стал первым, где открыто провозглашалась насущная необходимость скорейшей канонизации Жанны д'Арк: «J'aime la simplicité des champs dans son origine, la chasteté dans son coeur, sa vaillance dans les combats, son amour de la patrie française, mais surtout la sainteté dans sa vie et dans sa mort… J'ai dit la sainte, Messieurs: vous jugerez, je l'espère, après avoir entendu ce discours, que ce nom n'est pas trop grand pour elle. Et l'Eglise elle-même, à qui seule il appartient de déclarer authentiquement la sainteté, le décidera peut-être un jour pour nous» (Dupanloup F. Second panégyrique de Jeanne d'Arc. Orléans; P., 1869. P. 6).
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«Prussiens qui visitez cet humble asile, tremblez! Car l'esprit de Dieu y plane encore» (цит. по: Marot P. Le culte de Jeanne d'Arc à Domrémy. P. 46).
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Подробнее см.: Krumeich G. Jeanne d'Arc à travers l'histoire. P. 177–244.
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Тогоева О. И. Еретичка, ставшая святой. С. 402–416.
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Мария Орлеанская, дочь будущего короля Луи-Филиппа I, училась рисунку и живописи у Ари Шеффера, одного из самых известных французских художников периода Июльской монархии. Скульптура «Жанна д'Арк в молитве», выполненная в 1837 г. в мраморе, а затем отлитая в бронзе, предназначалась для Исторического музея в Версале, который создавал на собственные деньги Луи-Филипп. Она стала самым известным изображением героини Столетней войны в годы правления этого короля, и ее полноразмерные или уменьшенные копии были установлены в самых разных французских городах — в Орлеане, Париже, Руане, Вокулере, Компьене, Жанвиле и, наконец, в Домреми: Heimann N. M. Joan of Arc in French Art and Culture. P. 140–145.
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«Жанна д'Арк» Эмманюэля Фремье была установлена на площади Пирамид в 1874 г., в память о событиях Франко-прусской войны.
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Krumeich G. Jeanne d'Arc à travers l'histoire. P. 203–205; Warner M. Joan of Arc. The Image of Female Heroism. P. 258–259.
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См. выше: Глава 8. См. также: Тогоева О. И. Долгое торжество: праздник 8 мая в Орлеане.
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«Enfants du léopard, vous dont les lois cruelles / Ont du sang innocent inondé le bûcher, / Anathème à jamais sur vos mains criminelles, / La honte est le chemin où vous devez marcher!» (цит. по: Warner M. Joan of Arc. The Image of Female Heroism. P. 327).
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«Elle ne viendra pas; on ne voit plus chez nous, / Depuis longtemps déjà les anges redescendre; / Mais Dieu peut envoyer, s'il ne veut nous la rendre, / Son génie à nos chefs et son âme à nous tous» (цит. по: Ibid. P. 321).
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Avril J. Le triomphe des lis. Jeanne d'Arc ou la Pucelle d'Orléans, drame en cinq actes et en vers, imité de la tragédie allemande de M. Schiller, traduite en français et en prose par C.Fr. Cramer, édition de M. L. S. Mercier, de l'Institut national à Paris. P., 1814.
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Schiller F. Jeanne d'Arc ou la Pucelle d'Orléans. Tragédie en cinq actes. P., an X (1802).
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«C'est donc avec empressement que j'ai saisi l'occasion de publier une tragédie, qui… nous apprend à vénérer Jeanne d'Arc et à lui reporter le respect qui lui est dû par tout Français, qui n'est pas depravé, ou qui ne s'est pas rendu complice d'une mauvaise lecture» (Mercier L. C. Préface de l'éditeur II Ibid. P. III). Под «дурным чтением» Мерсье подразумевал знакомство с «непристойными стихами» Вольтера (vers licencieux de la Pucelle Voltairienne), ставшими «преступлением против нации» (un délit anti-national): Ibid. P. IV.
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«Jeanne d'Arc, lève-toi; quitte ces lieux, dit-elle, I Car pour venger les lis notre Seigneur t'appelle. I Dieu te donne ce fer, ce casque, ce drapeau. I Tu les conserveras, Jeanne, jusqu'au tombeau!.. I Par ce fer, tu vaincras cette troupe cruelle, I De ton Roi l'ennemie. Elle est à Dieu rébelle. I Dans peu de temps, à Reims, Charles tu conduiras, I Bientôt après, aussi, tu le couronneras» (Avril J. Le triomphe des lis. P. 22).
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«Sire, ma mission I Est à présent finie. Une voix qui m'appelle I Me dit: Tu vas quitter ta dépouille mortelle!.» (Ibid. P. 64).